HtmlToText
aller au contenu giram le groupe d'initiatives et de recherches appliquées au milieu menu et widgets qui sommes-nous? historique conseil d’administration 2017-2018 aménagement du territoire patrimoine prix corniche d’or corniche cornichon concours photo 2012 liens utiles devenir membre du giram nous joindre notre page facebook rechercher : bienvenue! le giram est un organisme de défense et de sensibilisation à l’aménagement du milieu qui existe depuis 1983. fruit de la réflexion et de l’implication d’enseignants du cégep de lévis-lauzon, il se veut le gardien du patrimoine et de l’environnement de la rive sud de québec et de la région de la capitale. son suivi des dossiers litigieux et ses recommandations ont très souvent inspiré les pouvoirs publics et municipaux, ainsi que les entreprises, dans leurs décisions. * vous pouvez effectuer une recherche dans le site à l’aide du module en bas de page du menu à gauche. ********************************* ——– ****************************** assemblée générale, 25 mars 2018, tenue au café du village dans le vieux-saint-nicolas: antoine boivin, pierre-paul sénéchal (président) et france rémillard, secrétaire les lauréats du prix corniche d’or-patrimoine, les propriétaires de la maison bergeron à st-nicolas les lauréats des prix corniche d’or: la ville de lévis pour la passerelle harlaka (gilles lehouillier, maire), la librairie écolivres (pierre auger, directeur général) et la maison patrimoniale bergeron (paul montminy et hélène bernier, propriétaires) *** projet d’embellissement à l’école l’étoile, quartier roc pointe, st-nicolas *** extrait-du-procès-verbal-école-étoile plan de l’école si j’étais président de chambre de commerce… une opinion de pierre-paul sénéchal en réplique au port le soleil , 8 mai 2018 « le saint-laurent est un cul-de-sac, un détour des voies maritimes internationales » l’avis de l’expert maritime brian slack, le soleil , 3 avril 2018 signez la pétition contre le projet beauport 2020 le port interpelle le giram sur ses critiques envers le projet de conteneurs 29 mars 2018 la réponse du giram de la crédibilité du port de québec et du giram. dans le soleil du 29 mars 2018, le v ice-président du port de québec, monsieur alain sans cartier, tente d’écorcher le giram au sujet d’un scénario potentiel de 1 000 camions lourds qui seraient amenés à emprunter le boulevard henri-bourassa, l’autoroute de la capitale, puis les ponts, pour sortir le demi-million/an de conteneurs transitant par le secteur portuaire de beauport. les « études du port » ramènent plutôt ce chiffre à « 77 camions ». impossible et absolument non crédible. comme le giram l’a déjà affirmé précédemment, il faut se méfier des études de marchés du port de québec , les récents échecs des silos à granules, du projet de duc-d’albe et du transport de vrac liquide étant suffisamment probants à ce chapitre. sur cette question centrale de desserte de la zone beauport, il nous faut citer l’expert brian slack, qui, avec son collège claude comtois, sont les références les plus utilisées par le gouvernement du québec en matière de politique maritime. dans un commentaire adressé à l’agence canadienne d’évaluation environnementale, monsieur slack affirmait ceci : « il n’y a aucun avantage commercial pour une compagnie maritime d’établir un service à québec puisque le marché local est trop petit. la grande majorité des conteneurs devraient être transportés dans la région de montréal et en ontario. les liaisons ferroviaires à québec sont mauvaises et, par conséquent, la plupart des conteneurs seraient transportés par camion vers montréal et au-delà. l’utilisation inévitable du camionnage pour la plupart des conteneurs manutentionnés au port de québec représente un enjeu environnemental et sécuritaire important.» voilà, pour l’essentiel, ce que s’évertue à dire le giram depuis deux mois. dans une autre étude, les experts comtois et slack arrivent à un constat qui fait particulièrement mal paraitre les prétentions de l’administration portuaire de québec et les fondements-mêmes de son nouveau projet beauport 2020. en matière de port de conteneurs, c’est « l’accès terrestre qui compte davantage que la taille des sites et la profondeur d’eau … considérant que les coûts du transport océanique sont maîtrisés, c’est la maîtrise des liaisons de marché et de l’intermodalité qui compte ».( comtois, slack et sanders. centre de recherche sur les transports. l’industrie du transport des marchandises à montréal). l’historique des grands projets énergétiques abandonnés faute de marchés démontre que, le plus souvent, ce sont les évaluations des groupes écologiques qui se sont avérées comme étant les plus crédibles (centrale thermique suroît, rabaska). pierre-paul sénéchal, président giram. paru dans le soleil du 1er avril 2018 à l’automne 2017, le giram présentait son analyse et sa position sur le nouveau projet de terminal à conteneurs du port de québec à l’acée beauport 2020 conteneurs réplique du giram à la réponse du port: la crédibilité du port de québ ec parution dans le soleil du 18 février 2018 lettre à via rail et ville de québec commission scolaire de la capitale et direction de la santé publique de la capitale nationale 1er mars 2018 un faux projet de développement 24 février 2018, par le président du giram dans le soleil communiqué conjoint giram, équiterre, nature québec, accès st-laurent beauport et initiative citoyenne de vigilance port de québec 20 février 2018 communiqué d’appui au chantier davie et à ses travailleurs lévis, 29 novembre 2017 le giram joint la coalition pour sauver le chantier davie et demande la tenue d’une enquête publique sur l’historique de l’octroi de contrats maritimes par l’administration fédérale. avec le mouvement desjardins, le chantier maritime davie est l’icône, l’image de marque de lévis et un élément phare de son patrimoine historique. l’entreprise est étroitement associée aux premières années de la ville et, à sa façon, a marqué son territoire, celui de lauzon en particulier. de génération en génération, des familles ont donné vie à cette ville et à ses institutions grâce à la davie. mobilisé par les enjeux de patrimoine et d’aménagement du territoire, le giram ne peut rester indifférent face à la menace qui pèse actuellement sur cette entreprise et la communauté de lévis. cette menace n’est, selon l’organisme, nullement reliée à la conjoncture économique ou à la mauvaise fortune. elle origine directement d’une attitude qui a cours depuis des décennies du côté de l’administration fédérale qui, pourtant, tire la moitié des impôts des québécois. le sentiment d’iniquité et de discrimination qui anime actuellement la collectivité régionale n’est pas fortuit, il repose sur des faits troublants: le québec ne reçoit qu’un ridicule 1 % du total des quelques 75 milliards de contrats de construction maritime en provenance d’ottawa. en plus de donner son soutien sans réserves à la cause des travailleurs de la davie, et compte tenu de l’historique des trois dernières décennies et des montants absolument faramineux qui sont en cause, le giram demande qu’une enquête publique soit menée par le gouvernement du québec pour mettre au jour les raisons, pour ne pas dire les mobiles, qui expliquent un tel état de choses. pierre-paul sénéchal président du giram crédit tourisme côte nord le pôle maritime de sept-îles version intégrale de l’opinion parue dans le soleil le 13 avril 2017 le pôle maritime de sept-îles: solution à long terme et alternative logique au projet beauport 2020 du port de québec « beauport 2020 » : une résistance insoupçonnée au départ, mais tout à fait prévisible. après un essai infructueux au cours des années 2000, voilà que l’administration portuaire de québec (apq) tente à nouveau de faire accepter par les autorités fédérales son contesté projet d’agrandissement de 18 hectares essentiellement consacrés au transbordement de vrac liquide et solide. au terme des récentes audiences de l’agence canadienne de l’év